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Cartes géographiques anciennes

Carte IGN au 1:50000 série M 761 feuille 34–18 – Épinal de janvier 1989

C’est en 1940 que le Service géographique de l’Armée chargé de l’établissement et de l’entretien de la Carte de France devient un organisme civil, l’Institut géographique national (IGN).

Extrait

Carte de la commune extraite de Chaumousey à travers les âges du Chanoine Michel de 1940

Survoler la carte avec le pointeur de votre souris vous permettra de faire apparaître quelques informations sur la commune.

Chaumousey

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La Michotte, ancienne cense de l’abbaye de Chaumousey.
La Michotte

La gare de Girancourt.
Chaumousey

La Halte de Chaumousey.
Chaumousey

Les murs du canal de l’Est à Truzey.
Chaumousey

Le port de Chaumousey.
Chaumousey

Le port de Bouzey.
Chaumousey

La batterie de Bieutot.
Chaumousey

La batterie de la Justice.
Chaumousey

Le dépot de munitions.
Chaumousey

L’Abbaye de Chaumousey.
Chaumousey

La digue du réservoir de Bouzey.
Chaumousey

La barrière de Truzey.

La barrière du Grand Paquis.

L’ancienne tuilerie.

L’ancien moulin de l’abbaye de Chaumousey et dont les bâtiments furent transformés en pisciculture.

Le cimetière.
Chaumousey

L’église.
Chaumousey

Le calvaire de l’abbaye.
Chaumousey

Le calvaire du Paquis des haies.
Chaumousey

Extrait de la carte de l’état–major dont les dessins datent de 1825 à 1866 pour le levé initial et vont jusqu’en 1889 pour les mises à jour

Le concept de carte de base est repris au début du XIXe siècle par la carte d’État–Major, levée au 1:40000e et publiée au 1:80000e. Le projet, élaboré en 1816, admet la coopération des administrations civiles (Forêts, Mines, Ponts et Chaussées), mais c’est la «main régénératrice» des militaires qui doit ordonner toute cette documentation, car «il est du plus grand intérêt pour la sûreté d’un État de faire acquérir la connaissance de son propre sol par ceux mêmes appelés à le défendre». La détermination de points d’altitude par des opérations de nivellement, la représentation du relief et celle du réseau secondaire, marquent les trois points principaux des progrès de cette carte véritablement topographique. Les levés sont achevés en 1866.

Extrait

(Document géoportail)

Extrait de la carte n° 143 Mirecourt–Épinal de César–François Cassini de Thury éditée vers 1760 noir et blanc

La «Carte de Cassini» doit son nom à une lignée d’astronomes et géographes italiens qui s’installent en France dans le dernier tiers du XVIIe siècle. Lancée sous les auspices de l’Académie des Sciences en 1747, elle est le fruit du travail opiniâtre d’une succession de savants et d’ingénieurs qui, pendant un siècle et demi, vont s’employer à mettre au point de nouvelles méthodes de relevés tel que le demande un pays aussi vaste que la France.

«Mesurer les distances par triangulation et assurer ainsi le positionnement exact des lieux, mesurer le Royaume, c’est–à–dire déterminer le nombre innombrable de bourgs, villes et villages semés dans toute son étendue, représenter ce qui est immuable dans le paysage», tels sont les objectifs posés par César–François Cassini de Thury, le troisième de la lignée. Deux siècles plus tard, la comparaison avec la «Carte de France» actuelle apporte la preuve de la réussite de son entreprise.

César–François est le continuateur de ses père et grand–père. Il effectue une nouvelle mesure de la méridienne en 1739–1740. L’achèvement de cette mesure était le préalable indispensable au lancement de la réalisation de la carte de France qui mobilisera alors toute son énergie et toute son habileté.

Extrait

(Document Geneanet)

Extrait de la carte n° 143 Mirecourt–Épinal de César–François Cassini de Thury éditée vers 1760 couleur

Extrait

(Document Geneanet)

Cartes de géographes versaillais de l’atelier des Naudin réalisées entre 1728 et 1739

De 1728 à 1739, des géographes de l’atelier versaillais des Naudin, arpentèrent les Trois–Evêchés (Metz, Toul et Verdun), qui relevaient du Royaume de France depuis 1648, les duchés de Lorraine et de Bar et les territoires du Palatinat, du Luxembourg, etc. Deux de ces cartes monumentales qui représentent de 3500 à 5000 kilomètres carrés de la Lorraine à l’échelle 1/28800, nous font découvrir la première image du territoire calmosien. Nous y trouvons une topographie détaillée des campagnes, le plan du village avec l’église, l’Abbaye, les prairies, les bois, les routes et les chemins avec leurs ponts de pierre ou de bois, avec les justices, les croix de carrefours, etc. L’information rassemblée y est précieuse, malgré des défauts en matière d’exactitude géométrique. C’est une image très aboutie des paysages et de la géographie lorraine un siècle avant les premiers cadastres napoléoniens.

Liens externes vers:

Carte C04 zone 03–04 (centrée sur Chaumousey)

Carte C48 Zone 02–01 (pas de centrage possible)

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Extrait de la carte des frontières de Lorraine, du comté de Bourgogne et de la Haute Alsace chez le sieur Laillot à Paris par Henri Sengre en 1692

Extrait

(Document BnF/Gallica)

Extrait de la carte des archidiaconnés de Vosges, et de Vittel, dans l’Evesché de Toul par Nicolas Sanson d’Abbeville en 1656

Extrait

(Document BnF/Gallica)

Sources : http://cassini.ehess.fr