Ruisseau d’Ambafosse venant de l’étang Saint–Jean.

Église prétendue du temps de la fondation dont la nef avait 36 mètres de long et 16 de large. Le choeur datait de 1713. Elle avait une seule tour surmontée d’une flèche qui fut emportée en 1756 et refaite immédiatement. Les abbés décédés y étaient déposés dans un caveau funéraire placé au–dessous du maître–autel.

Jardin des religieux.
Au centre se trouvait un bassin circulaire avec un jet d’eau. Il existait également une glacière.

Verger des religieux.

Hôtel abbatial bâti en 1726, 38 mètres de long sur 12 de large, à un étage au dessus du rez–de–chaussée.

Jardin de l’aumônerie.

Jardin de M. L’Abbé vers lequel on descendait par un perron. En pente, ce jardin était coupé transversalement, au milieu, par un mur nécessaire pour racheter la différence de niveau.

Ruisseau d’Ambafosse transformé en un canal dont les rives étaient maçonnées et servant de vivier. Trois passerelles permettaient de passer sur l’autre rive.

Verger de M. L’Abbé.

Colombier.
Ce colombier n’apparaît pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Muraille demi–circulaire où l’on mettait le fumier.
Cette muraille n’apparaît pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Écuries et remises.
Ces bâtiments n’apparaissent pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Grande fontaine.
Cette fontaine n’apparaît pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Terrasse plantée d’arbres, dominant le vallon d’une vingtaine de mètres, que l’on appelait le promenoir du Mont Saint–Jean.

Parterre.

Haute cour.

Bâtiments d’entrée.
Selon le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges, il n’y aurait ici qu’un mur d’enceinte dans lequel se trouvait le portail encore visible aujourd’hui.

Ferme de l’aumônerie.

Lavoir.

Grande façade ouest
Bâtiment de dix–neuf croisées de face, construit en pierres de taille. Le milieu des deux façades est et ouest faisait saillie en avant–corps de deux pieds neuf pouces et étaient garnis de pilastres, entre lesquels étaient ouvertes trois portes, dont celle du milieu servait d’entrée et les deux autres étaient des croisées couronnées par un fronton triangulaire. Ces deux façades, construite de 1730 à 1740, avaient un premier étage au–dessus du rez–de–chaussée. Construites sur une ancienne carrière, elles possédaient de belles caves.

Grande façade est
Bâtiment de dix–neuf croisées de face, construit en pierres de taille. Le milieu des deux façades est et ouest faisait saillie en avant–corps de deux pieds neuf pouces et étaient garnis de pilastres, entre lesquels étaient ouvertes trois portes, dont celle du milieu servait d’entrée et les deux autres étaient des croisées couronnées par un fronton triangulaire. Ces deux façades, construite de 1730 à 1740, avaient un premier étage au–dessus du rez–de–chaussée. Construites sur une ancienne carrière, elles possédaient de belles caves.

Serre.

Jardin de manoeuvre.
Ce jardin n’apparaît pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Jardin de fermier.
Ce jardin n’apparaît pas sur le plan dressé par l’arpenteur Hogard en 1820 et conservé au Musée départemental des Vosges.

Verger de l’aumônerie.

Vivier.